Chaque roman doit respecter la structure suivante: 11 chapitres en une ligne commençant par les mots suivants :
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Jean-Baptiste
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Lise-Noëlle
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Mo
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Il était une fois dans un temps sans passé, un petit enfant, moi, moi et mes rêves sans fin d'un ailleurs, moi, le gentil, celui que parfois on oublie par ce qu'il aime se faire oublier et pourtant ,amoureux de la vie, impatient de la vivre cette vie pleine de mystères, de bruissements, de promesses troublantes.
Bien emmitoufflé dans ma bulle, j'avais oublié où j'étais. J'étais assis là sur le petit banc en pierre juste en dessous de la glycine, ce petit banc vénéré par des générations de rêveurs.
Il y avaient des hommes, tiens je ne les avais pas vus
Il y avaient des femmes, je ne les avaient pas vues.
Est-ce que je les connaissais ? Je les ai entendus, ils ont dit, oui ils ont dit, qu'il fallait s'en soucier de ce petit, il rêve trop
Je me souviens de ma mère
venant alors vers moi, m'enlacer, tendrement
Comme dans un rêve, elle était une fée, ses lèvres formaient le mot envole toi .
Marie-Mad
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Chapitre Un
Il était une fois un joueur de viole de gambe, un gambiste en quelque sorte.
Chapitre Deux
Un petit enfant, moi, l’écoutait jouer le soir tombé, lui dans sa cabane, moi adossé à un arbre.
Chapitre Trois
Amoureux de la jeune fille Violaine, nous l’étions tous les deux, mais qu’y pouvais-je ? je n’avais que dix ans.
Chapitre Quatre
J’avais tous ses airs en tête, les gais comme les désenchantés, ceux que le Roi lui demander de jouer, ceux qu’il jouait dans les cabarets pour les godelureaux.
Chapitre Cinq
Et j’étais assis, adossé à mon frêne, guettant Violaine rejoindre son gambiste, sa robe claire dans la nuit et elle chantait avec lui de drôles de chansons que je ne comprenais pas.
Chapitre Six
Il y avait des hommes qui le jalousaient, d’autres qui l’admiraient mais sans savoir pourquoi.
Chapitre Sept
Il y avait des femmes qui l’aimaient, d’autres qui le méprisaient, et elles, savaient pourquoi.
Chapitre Huit
Elles ont dit qu’elle était une femme de rien du tout, car aimer un gambiste, fût-il requis pour endormir le Roi, c’était comme partir à Rome avec un faquin comme seul compagnon.
Chapitre Neuf
Je me souviens de ma mère venant me tirer les oreilles après m’avoir appelé, mais je préférais les écouter lui jouer, elle roucouler.
Chapitre Dix
Comme dans un rêve, je les écoutais avant de m’endormir, et j’aurais aimé qu’elle vienne se pencher sur moi et que
Chapitre Onze
Ses lèvres forment le mot « Reconnaître ». FIN
Arnoul
Il était une fois une histoire de modeste maisonnette,
Un petit enfant, moi, boutentrain, amoureux d’un infini parfum.
J’avais fière allure tel un prince au port royal.
J’étais assis sur une taraudante inquiétude.
Il y avait des hommes avec des envies pressantes, des boissons ardents.
Il y avait des femmes qui en conséquence pratiquaient le téléphone arabe.
Ils ont dit qu’un coup de foudre m’avait frappé.
Je me souviens de ma mère dans un dépassement de soi,
Comme dans un rêve, une future presque héroïne qui avait planté cet imbécile heureux.
Ses lèvres formait le mot étoile ! L’inaccessible étoile.
Marylène