Verlaine | Olivier, J.B, MO | ||
DE FOE | |||
Claire, Mariette | Lise-Noëlle, Anne | ||
Verlaine | MarieMad |
On « pioche » dans le poème de Verlaine, des mots, dans l’ordre, pour se les approprier.
Je ne t'ai pas connu, je ne t'ai pas aimé,
Je ne te connais point et je t'aime encor moins :
Je me chargerais mal de ton nom diffamé,
Et si j'ai quelque droit d'être entre tes témoins,
C'est que, d'abord, et c'est qu'ailleurs, vers les Pieds joints
D'abord par les clous froids, puis par l'élan pâmé
Des femmes de péché - desquelles ô tant oints,
Tant baisés, chrême fol et baiser affamé ! -
Tu tombas, tu prias, comme moi, comme toutes
Les âmes que la faim et la soif sur les routes
Poussaient belles d'espoir au Calvaire touché !
- Calvaire juste et vrai, Calvaire où, donc, ces doutes,
Ci, çà, grimaces, art, pleurent de leurs déroutes.
Hein ? Mourir simplement, nous, hommes de péché.
Aimé, je te connais moins que les clous froids. Tu prias les âmes belles d’espoir et ces doutes pleurent de leurs déroutes, simplement.
Olivier
Je connais ton nom femme de péchés, tant baisés tu tombes sur les routes, tu grimaces et pleures de mourir
Claire
Je t’aime encore moins si j’ai les pieds joints. Baiser ! baiser comme moi ! La faim et la soif pleurent leur déroute.
Jean-Baptiste
Je te connais, j’ai les pieds froids des femmes de péché sur les routes, belles grimaces de leur déroute.
Mo
Je ne t’ai pas connue et je t’aime, diffamée. Les clous froids tant baisés comme moi sur les routes pleurent simplement.
Mariette
Je ne t’ai pas aimé. Je ne te connais point. Ailleurs, vers les pieds joints, les clous froids, les âmes que la faim et la soif sur les routes poussaient au Calvaire. Calvaire juste et vrai ci, çà, grimaces, déroutes.
Mourir.
Simplement.
Lise-Noëlle
_______________________________________________________________________
Auteur | Daniel Defoe |
---|---|
Genre | Roman d'aventures |
Pays d'origine | Angleterre |
Éditeur | W. Taylor |
Date de parution | 1719 |
_______________________________________________________________________________
L'eau du manque ?
A quoi bon
la mer
MO
Cette embarcation,
Trouver de l'aide pour la mettre à l'eau
La lancer à la mer?
Magali
ON PIOCHE DANS une PAGE du livre "Le réel et son double" du Philosophe CLEMENT ROSSET pour en extraire une maxime :
Béatitude plutôt que jouissance provoque l’indifférence du notable.
Joie de la découverte manifeste la forme de l’invisible.
Arnoul
Faire joie de sa découverte : la jouissance de l'Atelier forme quelque pensée notable
MO
Cette spécificité signale une béatitude entre jouissance et indifférence. Ainsi rien n'est dit mais s'étale à la fin sur la toile.
Claire
Il serait exagéré de renoncer à imaginer le rien
J.B.
Joie dans l'atelier : toute forme est toujours possible.
MO
Cette découverte à soi-même provoque une jouissance qui s'étale bien à la vue de l'Atelier
Anne
Cette joie à me passer de mon image signale une béatitude : la jouissance de la vue a en quelque sorte rendu visible l'invisible car le rien y est dit en toutes lettres.
Mariette
Le rien s'étale à la vue. Cette découverte signale la béatitude. mais la jouissance de la vie manifeste l'Atelier, son absence mieux rendue à la forme d'Auto-portrait.
Lise-Noëlle
Le moi signale la jouissance de l'atelier où rien n'est dit sans arrière pensée, rien en vue, rien.
Marie-Mad.
Cette joie signale une béatitude de la vie et l'invisible rendu ainsi renonce à tout quand il est toujours possible d'imaginer en toutes lettres.
Olivier
Cette joie de découverte intéresse d’avantage pour passer de l’indifférence à la béatitude.
La jouissance de la vie est le peintre de l’atelier.
Il a rendu visible et possible d’imaginer, par la pensée et en toutes lettres, un très peu.
Marylène